dimanche 25 décembre 2011

Feliz Navidad!

Joyeux Noël à tous !!!

Avec 4 heures de plus que vous en France, nous avons également fêté ce grand moment en famille, au milieu de la steppe patagonienne, à El Calafate.La famille de Philippe-Antoine nous a en effet rejoint pour un bout de chemin, entre bout du monde, paysages sans fin et glaciers.

 Après notre arrêt express à Punta Arenas, nous avons traversé le détroit de Magellan (on a même vu des dauphins !) puis la Terre de feu durant une journée de bus. Des paysages désertiques, arides, immenses nous ont accompagnés, entrecoupés de quelques moutons, Guanaco (lamas) ou Nandou (émeux). Cela pourrait paraître rébarbatif, mais les couleurs,  l’immensité, le ciel changeant exercent une sorte de fascination, on ne s’en lasse vraiment pas. Puis les montagnes sortent peu à peu de terre, la neige parsème les sommets, nous passons un col et Ushuaia apparait. Nous y sommes, le bout du monde (ou presque), c’est là que nous retrouvons Jean-Patrick, Marie-Laure, Dorothée et Agathe. C’est fou de se retrouver là et l’émotion est au rendez-vous.

Pour commencer le programme de cette semaine, visite d’Ushuaia, du Canal de beagle et de son phare et de ses lions de mer, puis du parc National de la Terre de feu. Des montagnes entourent la région, c’est l’été, mais mise à part le jour qui dure 20h, la neige nous entoure, et la doudoune n’est pas de trop ! Les paysages sont également magnifiques, arides et sauvage, la fin du monde…

Nous prenons ensuite l’avion pour aller vers le Nord, à El Calafate. Une ville nouvelle, qui grandit grâce à l’afflux de touristes qui viennent pour y voir le Perito Morino, ce fameux glacier qui se jette dans le lac Argentino (et non dans la mer comme les cartes postales le laissent penser). C’est prodigieux, un spectacle fantastique, toute cette masse de glace bleu qui gronde, qui avance, qui s'effrite, produisant des icebergs. Nous allons au pied de ce molosse de 60m de haut et 5km de longueur avec un bateau, puis prenons de la hauteur avec les passerelles qui se trouvent en face. Une des merveilles du monde, il n’y a pas à dire.
Le jour suivant, nous nous rendons en bateau à l’estancia Cristina, pour visiter une des premières fermes qui ont peuplées ces steppes au début XXe. Elle est perdue au milieu de nulle part, ou plutôt si, au pied du glacier Upsala, encore plus gros que le Perito Moreno. Nous n’avons pu l’approcher qu’à quelques kilomètres mais le spectacle est à nouveau saisissant. Tant par sa beauté que par l’inquiétude que l’on ressent en le voyant. Il y a 100 ans, ce glacier faisait le double de son volume actuel comme le montre les roches polies sur lesquelles nous marchons,  mais il fond à vue d’œil (au sens propre !) à cause du réchauffement climatique… 

Allez, c’est Noël, on ne va pas être trop pessimiste, nous rentrons donc à l’hôtel pour faire le réveillon, un repas excellent  et sacrément copieux, qui se termine avec le spectacle des feux d’artifices tirés par les habitants d’El Calafate au-dessus du lac…
En avant maintenant pour le Parc de Torres del Paine, un peu plus au Sud…

vendredi 23 décembre 2011

Au pays des lacs et des volcans

Après avoir vu le côté urbain du Chili,  nous passons maintenant à ses terres plus natures et sauvages. Une nuit de bus nous conduit à Puerto Varas, au bord d’un lac et surtout du volan Osorno que nous apercevons au loin. La météo semble bien partie, afin de gagner du temps nous nous joignons à une visite d’une journée de cette région. Rencontre avec les lamas, visite de chutes d’eau au milieu des roches volcaniques, et ballade sur le flanc du volcan. Ok, cette année nous n’avons pas fait de ski, mais nous avons tout de même pris le télésiège et joué avec la neige, dans la petite station qui se trouve sur le volcan ;-)

Après cette bonne journée, nous décidons de nous rendre sur l’île de Chiloé pour 2 jours. Après les tropiques, la Bretagne (ou l’Irlande) avec des paysages sauvages, battus par la pluie et les vagues de l’océan Pacifique (dans lequel nous avons enfin trempé nos pieds !) Nous nous arrêtons à Ancud, petite bourgade à l’Ouest, dans laquelle toutes les maisons sont faites en bois (comme sur toute l’île d’ailleurs) ainsi que les églises, classées au patrimoine mondial de l’Unesco.
De nombreux animaux peuplent également cette région, à l’image des phoques qui nous ont accueillis à notre arrivée, des loutres, des oiseaux, des moutons et autres pingouins. Parlons-en de ces pingouins d’ailleurs car histoire de faire un peu de sport, nous avons décidé d’aller les voir à vélo. Nous avons ainsi fait 56km sur une route en forme de montagnes russes pour nous rendre sur la plage où on pouvait les apercevoir. Là, les pêcheurs nous ont amenés pour les voir de plus près, l’effort en valait la peine.
Pour finir cette longue journée (le soleil ne se couche pas avant 22h !), nous nous rendons à Castro, capitale de l’île de Chiloé. En bord de mer, de petites maisons colorées sur pilotis ont rendu célèbre cette ville Son église en bois est également réputée.

Notre petit tour au Chili se termine déjà. Nous devons maintenant descendre encore plus dans le sud, vers le bout du monde en Argentine, à Ushuaia, grâce à un vol de Puerto Montt (capitale régionale) à Punta Arenas, puis 12hr de bus pour traverser la Terre de Feu…

mercredi 21 décembre 2011

Passage au Chili, en commençant par Santiago

Notre premier changement de pays nous amène au Chili et à sa capitale Santiago. Avec une première impression qui ne fera que se confirmer : les Chiliens sont très accueillants et n’hésitent pas à vous proposer leur aide. Et ça commence dès le passage de la douane, une douanière discute avec nous pendant 15 mn pour nous indiquer la direction de notre hôtel, le bus et la ligne de métro à prendre.
Nous nous dirigeons vers l’hôtel par des rues désertes, ce qui n’est pas forcément rassurant lorsqu’on arrive du Brésil, et nous arrivons devant une superbe maison type château avec des créneaux sur la terrasse et une tour. Apparemment, Santiago a connu une période architecturale particulière, type ‘moyennageux’, au début du XXème siécle.
Nous déjeunons avec Pascal, Ségolène, leur petite-fille Yzé et un ami dans un restaurant de Sanhattan, le  Manhattan de Santiago, à discuter du Chili, de sa culture, de la vie économique et du quotidien. Le pays semble les avoir vraiment séduit et nous les remercions vraiment de nous avoir fait partager leur expérience.
L’impression que nous laisse Santiago est complétement différente d’une mégalopole comme Sao Paulo. Malgré ses 17 millions d’habitants, Santiago ressemble à une belle ville de province, calme et agréable à vivre, ensoleillée, avec ses ruelles piétonnes et arborées et ses bâtiments relativement bas. De plus, nous nous sentons vraiment en sécurité.
Nous avons pu prendre l’atmosphère de cette ville en nous baladant au travers du quartier central et de sa plaza das Armas, Bellavista et son activité nocturne (bars et restaurants dans un quartier rénové) et Patronato, ses ruelles hyper commerçantes et ses marchés au poisson. 
Comme au Brésil, nous avons eu la chance de tomber sur un grand jour de football. Le jour de la finale de la Ligue des Champions Sud Américaine, la Copa Libertadores, qui opposait la U, équipe phare de Santiago, à un club d’Equateur. Nous avons assisté au match dans un bar au milieu de supporters dans une ambiance de folie et avec une victoire 3-0 pour Santiago ! Dès le coup de sifflet final, les rues se sont remplies de supporters, de drapeaux et de fumigènes !



Pour notre dernier jour, nous réalisons les visites de deux des caves les plus connues du Chili : Concha y Torro et Coucino Macul avec dégustations bien sûr. Ces vignobles sont immenses, Concha y Torro produit 256 millions de litres de vin par an ! A noter que la route des caves à Santiago présente le grand intérêt de se faire en métro !
Nous quittons cette ville qui nous laissera de très bons souvenirs, pour une nouvelle nuit de bus en direction du Sud du Chili, de ses lacs et de ses volcans…

jeudi 15 décembre 2011

A vida é bela em Paraty...

Nous voici donc à Paraty, au prix d’une journée de galère dans les transports (ça y est, c'est la première!)
 
Un gout de paradis dans ce petit village qui semble s’être arrêté après l’époque coloniale et lorsque les mines d’or se sont taries. De petites maisons blanches aux portes colorées encadrent les rues faites en pierre de ballast des navires portugais. De nombreuses boutiques d’artisanat ont remplacé les échoppes, et les touristes se baladent à la place des marchands d’autrefois. Et toutes ces rues convergent bien-sûr vers la plage et les cocotiers…
Bref, nous avons décidé de faire de cet endroit notre dernière escale au Brésil et nous ne le regrettons pas ! Des ballades, du canoë afin d’explorer les îles alentours, et une excursion en bateau d’une journée pour aller voir les plages un peu plus loin. La vie est dure…
Les photos parlent d’elles-mêmes, et nous recommandons vivement cette destination !



Ainsi s'achève notre petit tour au Brésil, un beau pays qui nous a semblé plein de contradictions: les favelas jouxtent les belles villas de Rio, nous nous sommes sentis en sécurité mais la violence peut se trouver à tous les coins de rue, un pays qui aime la fiesta et les rassemblements mais dont les populations habitent dans des maisons entourées de fils barbelés, des forêts luxuriantes coupées par la déforestation.... Nous avons beaucoup appris durant ces quelques jours, et avons également beaucoup aimé ces paysages, cette culture et toutes ces personnes rencontrées, pourvu que ça dure!

Nous sommes d'ailleurs en route pour notre premier changement de pays, vers Santiago du Chili.
A très bientôt et n’hésitez pas à nous donner de vos nouvelles ! (et merci à ceux qui l’ont déjà fait, ça nous fait bien plaisir de rester connectés avec vous !)

dimanche 11 décembre 2011

Las cataratas de Iguaçu

           Après 15h de route, on change de décors…en passant d’une mégalopole à une ville de province arborée qui tourne essentiellement autour du tourisme et de ses fameuses chutes d’eau.

Après avoir attendu pas mal de temps le bus à la gare locale, nous récupérons notre chambre, nous nous séparons (enfin !) de nos gros sacs et nous voilà repartis pour les chutes d’Iguaçu. C’est énorme : plus de 200 chutes sur 2,7 km dans un vacarme assourdissant au milieu de la forêt tropicale. Ya pas à dire, cela valait le déplacement. Et en plus, le soleil revient. Nous déambulons dans ce parc national rassemblant des tas de papillons, d’oiseaux et d’insectes. A la fin de notre parcours, des coatis (sorte de ratons laveurs) viennent demander à manger aux touristes.
Après les chutes, nous passons par le parc ‘das Aves’. Un parc ornithologique où on peut se balader directement dans d’immenses volières au milieu des toucans, aras, colibris et autres oiseaux tropicaux et tout ça en plein milieu de la forêt.
Retour pour Foz de Iguaçu, on s’arrête manger au Tropicana où pour 8€, vous avez accès à un buffet libre et des serveurs viennent vous servir de la viande grillée à volonté en passant à chaque table avec les brochettes sorties du four…il vaut mieux ne pas avoir mangé de la journée avant de venir. La viande est marinée puis salée avec du gros sel, un vrai régal.
La soirée s’annonce plutôt tranquille…on a déjà quelques articles de retard sur le blog ;-)

Lendemain, passage en Argentine pour aller voir l’autre côté des chutes (et oui elles représentent également la frontière entre le Brésil, l’Argentine et le Paraguay). Nous passons la journée à sillonner les sentiers aux allures de parc d’attraction pour aller de chutes en chutes, au –dessus (env 70m de hauteur) puis en dessous de celles-ci. Tant de puissance et tant d’eau… c’est incroyable. El Garganto del Diablo nous a particulièrement fasciné… et trempé ! Après une marche d’1km, sur des passerelles, on se retrouve au-dessus d’un trou béant de 80m dans lequel des tonnes d’eau s’engouffrent dans un fracas énorme. L’eau s’écoule avec une telle force  que l’on est aspergé par les embruns. Nous rentrons ensuite côté brésilien, le reste de l’Argentine, ce n’est pas pour tout de suite !



Enfin, pour clôturer notre séjour, nous visitons le barrage d’Itaipu, le plus grand barrage du monde en puissance électrique. Quelques chiffres pour vous donner une idée : réservoir long de 187km, assez de béton pour construire 20 stades de foot, ce barrage fournit suffisamment d’électricité pour approvisionner une ville de 2,5 millions d’habitants, etc… Ce barrage fournit 20% des besoins brésiliens et 90% des besoins du Paraguay! Bon rien à voir avec la splendeur naturelle des chutes, sans parler de l’impact écologique… Mais bon, c’est une énergie renouvelable comme on dit…






Départ ensuite pour une loooonnnguueee nuit de bus afin de retourner sur la côte Atlantique, au petit village de Paraty.


mercredi 7 décembre 2011

Tudo Bem a Sao Paulo


3ème jour 

Après une longue soirée de Samba et de caïpirinhas terminée vers 3h, nous nous levons à 7h pour prendre notre bus direction Sao Paulo à la gare routière de Rio. Départ 10h30 pour une arrivée à 17h30…heureusement les bus brésiliens sont tout confort avec sièges rembourrés et inclinables.
Pendant notre trajet, deux choses sont assez marquantes : l’excellent état des infrastructures routières qui n’ont rien à envier à nos autoroutes et la déforestation massive visible tout au long du parcours.

Les abords de Sao Paulo démontrent le dynamisme économique de la ville et de ses 19 millions d’habitants avec ses nombreux entrepôts! Ca y est, on arrive à la gare routière. On prend le métro et on rejoint Philippe, un gadz’arts de Cluny, expatrié avec l’Oréal depuis quelques mois avec toute sa famille. Leur appartement est tout simplement génial mais apparemment ‘c’est ça la vie d’expat…’ Une fois arrivés, nous repartons aussi sec pour une soirée avec des amis à eux, également expatriés depuis peu. Apéro de caïpirinhas puis nous voilà repartis pour une soirée dans une école de samba. Une très belle soirée, l’ambiance est au rdv et en plus les Corinthians de Sao Paolo ont gagné le championnat de foot brésilien. Nous tenons vraiment à remercier Philippe, Sonia, Hana et Louis de nous avoir si gentiment accueillis !

Le lendemain, nous partons pour une ballade urbaine dans Sao Paulo, en mode escargot avec nos gros sac à dos. Nous sympathisons en chemin avec une brésilienne qui fait visiter la ville à un couple d’amis italiens. Nous mangeons avec eux dans un restaurant où la nourriture se paye au poids. Nous les laissons pour poursuivre notre ballade et nous nous posons pour boire un verre dans un café situé au 41ème étage de l’immeuble le plus haut de la ville, avec une vue imprenable sur Sao Paulo. Cette ville est tout simplement gigantesque avec ses gratte-ciels innombrables, d’ailleurs les cadres sup (enfin très sup) se déplacent en hélicoptère dans la ville !






16h – Départ pour la gare routière pour Foz de Iguaçu avec un trajet de 14h…ça va bien se passer ;-)

mardi 6 décembre 2011

Bem-vindo a Rio!

Et voilà, il a ‘suffit’ d’une quinzaine d’heures de voyage pour nous retrouver de l’autre côté de l’océan, dans la ville des cariocas, de la samba, de la fiesta et des favelas…
Le vol s’est bien passé, nous avons eu plusieurs coups de foudre dans l’avion (ça tombe bien pour un voyage de noce), mais au sens propre cette fois, et je peux vous dire que l’on en menait pas large. Mais bon rien de bien grave, on a fini par atterrir sous les applaudissements des passagers…
Et puis, vient l’arrivée, de nuit. Ce moment étrange où l’on entre dans un autre univers, on essaie de découvrir ce qui se cache dans l’obscurité… Les lumières des immeubles, les lueurs des favelas sur les collines, le Jésus du Corcovado au loin… Puis les panneaux le signalent, nous sommes à Copacabana, wouhou ! Arrivée dans l’auberge de jeunesse, la musique à fond, pas mal de jeunes autour du bar, Nous sommes si fatigués que cette agitation ne nous empêchera pas de dormir moins d’une heure après.
1er jour sur place, un réveil sans trop savoir où on est. Puis tout revient, wouah, on y est ! Il fait chaud dans la chambre de 4 (2 israéliennes partagent la chambre avec nous), mais ça n’est pas le cas dehors ( ?!) Quoi ? Il pleut à Capacabana ? Et oui, même à l’approche de l’été, c’est possible… Tous ces km pour retrouver le ciel de Paris, j'te jure ;-) Nous partons enfin pour le Centro, le cœur économique de la ville, là où il y a beaucoup de monde, là où l’on ne risque pas grand-chose. Des immeubles hauts, très hauts, du monde, des cadres, des clochards, des vendeurs, des enfants, tous aux visages très différents les uns des autres. Nous nous baladons, en prenant un peu confiance, l’insécurité ne se fait pas sentir et nous en sommes assez surpris…  Nous allons ensuite vers le quartier ‘chic’ de Santa Teresa, sur les collines. De belles maisons coloniales plus ou moins en ruine se succèdent dans les ruelles, comme si les riches familles avaient quitté ces quartiers pour rejoindre les grands immeubles en contre-bas. Nous rentrons ensuite sur Copacabana et savourons (enfin !) notre 1ere caïprinha sur la plage.
Le 2eme jour, le soleil semble moins timide, en avant pour les visites touristiques ! Nous partons donc pour l’ascension du Pan de Azucar, ou plutôt pour la montée via les téléphériques. Tandis que nous nous élevons, la forêt tropicale s’étend sous nos pieds , et nous apercevons la baie de Rio dans son ensemble. C’est magnifique. Nous nous dirigeons ensuite vers le Corcovado, mais les nuages s’agglutinent peu à peu. Pas de bol, nous distinguerons à peine le visage du Christ à 30m de haut.  Tant pis, on reviendra !



Pour finir cette bonne journée, rien de tel qu’une soirée dans une école de Samba. C’est là que se prépare le carnaval de Février, les cariocas viennent y répéter les chants de leur école, les chorégraphies, et de belles brésiliennes (ce qui n’est pas si courant au passage) nous montrent leurs talents de danseuses. Tout le monde finit par danser, entrainé par le rythme des 50 percussionnistes, et les paroles de l’hymne de l’école répétées toute la soirée en boucle. Une véritable expérience que nous conseillons à tous !


mercredi 30 novembre 2011

Moins de 24 heures....

Un dernier message avant de troquer notre canapé confortable pour notre sac à dos et le macadam ou la terre battue!
Les préparatifs touchent à leur fins, les sac à dos sont (bien) remplis, et nous tâchons de vider notre esprit... (enfin on essaie)
Que dire de plus? Ce mois écoulé depuis que nous avons arrêté de travailler et donc que nous nous sommes déconnectés de la vie 'normale' est passé à la vitesse grand V. Il a été rempli de retours aux sources (à Entrevaux, à Montpellier), d'au-revoirs difficiles avec nos proches, d'administratif, beaucoup d'administratif pour couper tous les abonnements, forfaits, etc,... autant d'amarres à larguer...

Bref, si vous êtes là c'est pour connaître nos aventures à venir, il va donc falloir attendre quelques jours, le temps d'avoir des choses à vous raconter!
Nous vous disons donc à très bientôt sur ce blog, et encore une fois n'hésitez pas à vous inscrire (à droite) pour être au courant de nos nouveaux posts!
Pour info, vous pouvez aussi nous écrire à l'adresse suivante: pabanais@gmail.com

Allez en route, et à bientoooooooootttt!!!

"Un voyage de 1 000 lieues commence toujours par un pas."(Lao Tseu)

vendredi 28 octobre 2011

Bienvenue!!

Bienvenue sur notre blog!
Nous sommes en cours de préparation, mais si vous souhaitez être averti dès que la grande aventure commence, n'hésitez pas à vous inscrire à la newsletter!
A très bientôt